Les rubriques de cette page contiennent une foule d’informations sur l’état de santé et la conduite automobile.
Un accident vasculaire cérébral est une interruption de l’afflux de sang au cerveau. Le manque d’oxygène qui s’ensuit cause la mort de cellules cérébrales et endommage le cerveau, ce qui laisse souvent des séquelles pouvant être permanentes. L’AVC peut modifier le niveau d’autonomie et influencer la conduite automobile.
La plupart du temps, l’AVC arrive subitement, avec une série de symptômes dont voici les plus courants :
Les conséquences de l’AVC sont différentes d’un individu à l’autre. Voici des exemples :
C’est votre médecin qui déterminera si vous pouvez continuer à conduire d’une façon sécuritaire, avec ou sans condition. Il est dangereux de conduire après un AVC sans le consentement de son médecin.
Votre médecin peut aussi vous suggérer de consulter un ergothérapeute pour évaluer votre capacité de conduire. L’ergothérapeute peut recommander d’adapter votre véhicule ou de modifier vos habitudes de conduite.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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L’apnée du sommeil entraîne de brèves interruptions de la respiration durant le sommeil. La personne qui en souffre éprouve souvent de la somnolence durant la journée. Elle pourrait s’endormir au travail, à la maison ainsi qu’au volant.
L’apnée du sommeil peut occasionner :
Un traitement médical approprié vous permettra de continuer à conduire en toute sécurité. Jusqu’à ce que vous soyez sûr que le traitement a stabilisé votre état, évitez d’être seul à bord d’un véhicule : soyez accompagné d’un passager, qui pourra s’assurer que vous demeurez éveillé.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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L’arthrite cause de la douleur, de l’enflure et de la raideur dans les articulations.
L’arthrite peut rendre plus difficiles les actions suivantes :
De plus, les médicaments liés à l’arthrite peuvent causer de la somnolence et affecter la vigilance.
Un suivi médical approprié vous aidera à contrôler vos symptômes et vous permettra de continuer à conduire en toute sécurité.
Votre médecin peut aussi vous suggérer de consulter un ergothérapeute pour évaluer votre capacité de conduire. L’ergothérapeute peut recommander d’adapter votre véhicule ou de modifier vos habitudes de conduite.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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Certaines maladies oculaires, telles les cataractes, touchent surtout les personnes âgées. Leur apparition est graduelle, provoquant une lente diminution de la vue.
Un simple ajustement de vos verres correcteurs pourrait améliorer votre situation. Votre spécialiste de la vue peut aussi vous recommander une chirurgie d’extraction de la cataracte.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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La dégénérescence maculaire est un problème visuel fréquent chez les conducteurs âgés. Elle est la cause la plus fréquente de cécité acquise chez les personnes âgées de 65 ans ou plus.
Le dépistage précoce est important. Dans les premiers stades, la plupart des personnes peuvent continuer à conduire en toute sécurité. La perte de la vision centrale est évidemment incompatible avec la conduite automobile. Un suivi régulier auprès d’un spécialiste de la vue et un traitement approprié vous aideront à vous ajuster et pourront prévenir la cécité.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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Avec le diabète, le corps a du mal à stabiliser sa glycémie (taux de glucose dans le sang), qui passe parfois à des valeurs trop hautes (hyperglycémie) ou trop basses (hypoglycémie). Le diabète nécessite souvent un traitement médical, notamment lorsqu’il est question de sécurité au volant.
Le diabète provoque les symptômes suivants :
Discutez de la conduite automobile avec votre médecin et suivez rigoureusement votre plan de traitement. Un diabète mal contrôlé peut endommager votre système nerveux et entraîner des complications (problèmes oculaires, diminution de la sensibilité) qui influencent la capacité de conduire. Il sera alors plus difficile de ressentir vos membres et de les bouger rapidement, par exemple si vous devez freiner brusquement pour éviter un accident.
Votre médecin peut aussi vous suggérer de consulter un ergothérapeute pour évaluer votre capacité de conduire. L’ergothérapeute peut recommander d’adapter votre véhicule ou de modifier vos habitudes de conduite.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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L’épilepsie est la maladie la plus propice aux risques d’accident, car il est impossible de prédire le moment des crises. Toutefois, lorsqu’elle est bien contrôlée, l’épilepsie ne rend pas une personne inapte à la conduite. Par prévention, la SAAQ exige qu’un détenteur de permis n’ait pas subi de crises pendant un certain temps avant de pouvoir conduire. Cette période varie selon les classes de permis et le type d’épilepsie.
Si vous souffrez d’épilepsie, vous devez informer la SAAQ de votre état de santé.
Une crise d’épilepsie au volant, qu’elle s’accompagne ou non de convulsions, peut sérieusement compromettre la sécurité, car il y a perte de contact avec la réalité. Il en est de même si la crise n’affecte qu’une partie du corps, car elle entraîne une distraction majeure au volant.
Beaucoup de personnes épileptiques ressentent des signes précurseurs d’une crise. Si de tels signes surviennent en conduisant, vous devez :
Il est important que l’entourage soit avisé du risque de crise et sache comment intervenir.
Vous devriez discuter de la conduite automobile avec votre médecin ou votre infirmière. Il est important de suivre rigoureusement le plan de traitement établi par votre médecin.
Après chaque nouvelle crise, vous devez cesser de conduire en attendant de voir votre médecin, qui transmettra l’information nécessaire à la SAAQ et vous renseignera sur les étapes suivantes.
Il est tout à fait possible d’obtenir ou de conserver son permis de conduire si vous avez subi des crises d’épilepsie dans le passé. C’est la SAAQ qui déterminera les modalités de votre suivi, selon la fréquence et le type de vos crises.
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Le glaucome est un problème visuel qui endommage le nerf optique de manière irréversible, ce qui entraîne des taches aveugles dans le champ de vision. Sans traitement approprié, le glaucome peut mener à la cécité.
Les symptômes de la maladie peuvent être discrets au cours des premiers stades, mais ils s’aggravent généralement avec le temps. La personne voit alors comme si elle était dans un tunnel.
Le dépistage précoce est important. Dans les premiers stades, plusieurs personnes peuvent continuer à conduire en toute sécurité. Un suivi régulier auprès d’un spécialiste de la vue vous aidera à vous ajuster aux changements occasionnés par le glaucome.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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La maladie de Parkinson est une maladie neurologique dégénérative qui affecte la motricité. Elle peut apparaître à tout âge, mais elle est plus fréquente chez les personnes de 60 ans ou plus. La maladie de Parkinson interfère avec les activités de la vie quotidienne, dont la conduite automobile.
Les actions suivantes deviennent plus difficiles :
Dans les premiers stades, certains conducteurs peuvent encore conduire en toute sécurité. Consultez votre médecin pour en apprendre davantage sur le contrôle des symptômes, en rapport avec la sécurité routière. Votre médecin pourrait vous recommander de consulter un neurologue.
Votre médecin peut aussi vous suggérer de consulter un ergothérapeute pour évaluer votre capacité de conduire. L’ergothérapeute peut recommander d’adapter votre véhicule ou de modifier vos habitudes de conduite.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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Des milliers d’individus souffrent de troubles cognitifs ou de démence, telle la maladie d’Alzheimer. Si c’est votre cas ou celui d’un proche, vous devriez discuter avec votre médecin ou un autre professionnel de la santé, qui vous expliquera les effets de ces troubles sur la conduite automobile.
Les troubles cognitifs peuvent affecter l’aptitude à conduire.
Votre médecin peut aussi vous suggérer de consulter un ergothérapeute pour évaluer votre capacité de conduire. L’ergothérapeute peut recommander d’adapter votre véhicule ou de modifier vos habitudes de conduite.
Même si vous deviez limiter votre conduite ou renoncer à votre privilège de conduire, vous pouvez demeurer actif et continuer de pratiquer vos activités.
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Dernière modification : 4 juin 2022