L’alcool au volant concerne tout le monde : hommes, femmes, jeunes et moins jeunes. C’est l’une des principales causes d’accidents au Québec.
Chaque année, en moyenne, de 2015 à 2019, en raison de l'alcool :
Refuser ou omettre de souffler dans l’alcootest ou de faire les épreuves de coordination des mouvements entraîne automatiquement les sanctions les plus sévères. Par exemple, les sanctions prévues au Code de la sécurité routière sont les mêmes que pour la conduite avec un taux d’alcoolémie de 160 mg par 100 ml de sang (0,16), soit 2 fois la limite permise!
La loi n’interdit pas seulement de conduire un véhicule avec les facultés affaiblies, mais également d’en avoir la garde ou le contrôle. Voici quelques situations où les conséquences sont les mêmes que pour la conduite avec les facultés affaiblies :
Le policier évaluera s’il était possible pour la personne de conduire son véhicule et si elle avait l’intention de conduire.
Insistez pour le garder à coucher. Il s'obstine? Montrez clairement votre désaccord et appuyez ceux qui interviennent. En groupe, c'est plus efficace.
Ne montez jamais à bord d'un véhicule si le conducteur a consommé de l'alcool et que vous le soupçonnez de ne pas avoir toutes ses facultés.
Dans votre lancée, dissuadez-le de prendre le volant et proposez-lui une solution de rechange : transport en commun, taxi ou automobile assimilée à un taxi, service de raccompagnement, etc.
Dernière modification : 2 juin 2022